TO ALL AFROBEAT LOVERS
and ALBUM COLLECTORS !!!
Kindred Spirits a ré-édité en série limitée quatre chefs-d'œuvre de Tony Allen et Afrika 70’s, comprenant les morceaux remasterisés et les graphismes originaux restaurés. Un must pour les fans de l'afro-beat partout dans le monde.
Kindred Spirits has re-issued a limited serie of 4 Masterpieces from Tony Allen and Afrika 70’s, featuring remastered versions and original restored artwork. A must for afro-beat fans around the globe.
"Jealousy" est le premier des trois albums solo de Tony Allen, produit par Fela Kuti. En 1975, Tony Allen, leader de l'Afrika 70's, a eu l'occasion de travailler ses compositions en collaboration avec les membres de l'Afrika 70's. Ce premier disque a été initialement publié sur le label privé Soundworkshop Records. "Jealousy" est reconnu généralement comme le plus brillant de ses 4 albums solo, avec ces deux bijoux de l’Afrobeat que sont les morceaux «Jealousy» et « Hustler ».
"Jealousy" is the first of the 3 solo albums by Tony Allen produced by Fela Kuti. In 1975 Tony Allen, the band-leader of Afrika 70's, got an opportunity to rehearse his compositions together with rest of the Afrika 70's. This ended up in his first record which was initially released on the private imprint Soundworkshop Records. Jealousy is according to many still the highlight of his 4 solo-albums featuring 2 afro-beat gems 'Jealousy' and 'Hustler'.
En 1976, Fela Anikulapo Kuti et Afrika 70's ont publié un total de 8 albums incluant l’énormissime «Zombie». A l’apogée de leur gloire, Tony Allen, batteur de Fela, a décidé de sortir un album faisant suite à "Jealousy". « Progress » est l’aboutissement d'une série de séances de studio, avec Fela lui-même pour un solo de ténor sur le titre « Progress ». La face B laisse découvrir la machine à danser « Afro Disco Beat ».
In 1976 Fela Anikulapo Kuti and Afrika 70's released a total of 8 albums including the hit « Zombie ». At the time of their height Tony Allen, Fela's drummer, decided to release a follow-up album to 'Jealousy'. Progress was the result of a series of studio sessions, featuring Fela himself with a tenor solo on the title-track. The b-side contains the dancefloor filler « Afro Disco Beat ».
1978 a été sans doute l'une des années les plus troubles dans l'histoire de Fela et de l'Afrika 70's. Une année seulement avant que l'armée ait perquisitionné le quartier de Fela et détruit sa maison, son club, la clinique médicale gratuite de ses frères et mortellement blessé sa mère. Leur maison détruite, tous durent squatter les anciens bureaux Decca. Aux confins de la folie, ils ont réussi à enregistrer l'album « Suffering and Schmiling » et le troisième projet solo de Tony Allen : « No Accomodation For Lagos ». Sans aucun doute son album le plus orienté politiquement. Après la sortie de l’album, Tony Allen s’est éloigné de l'Afrika 70’s car il sentait que trop de gens sapaient la créativité de Fela.
1978 was without a doubt one of the most disturbing years in the history of Fela and the Afrika 70's. Just a year before the army had raided Fela's compound destroying his house, his club, his brothers free medical clinic and fatally injuring his mother. With their houses destroyed they had to squat the former Decca offices. Somewhere in between the madness they managed to record Fela's Suffering and Schmiling album and Tony Allen's third solo-project: « No Accomodation For Lagos ». Without a doubt his most political orientated record of all. After the record came out Tony Allen dropped from the Afrika '70 band as he felt that too many people were sapping Fela of his creative mind.
Après 14 ans de collaboration étroite, Tony Allen arrête de travailler avec Fela Anikulapo Kuti. Après la rupture avec le groupe pendant le festival de Berlin en 1978, Tony Allen est retourné à Lagos pour commencer à travailler sur de nouvelles compositions. Son indépendance nouvellement acquise l’amène à rompre avec cette habitude d’inclure deux morceaux dans ses albums single. Les morceaux sur « No discrimination » se concentrent davantage sur des sujets liés à la tolérance, la fraternité et la paix. Ce fut sa dernière œuvre au cours des années 70's, après quoi il a commencé à aller au-delà de la frontière du Nigeria, en collaborant avec des artistes du monde entier. A ce jour, il reste un des plus grands batteurs vivants.
After 14 years of close collaboration Tony Allen stopped working with Fela Anikulapo Kuti. After breaking from the band during the gigs at Berlin's festival in 1978, Tony Allen returned to Lagos to start working on new compositions. His independence inspired him to break-away from his regular routine of putting 2 tracks on every single album. The tracks on No Discrimination are also focussed more towards subjects of tolerance, brotherhood and peace. This was his final work during the 70's, after which he started to move beyond the border of Nigeria by collaborating with artists worldwide. Till this day he remains on of the greatest kit drummers alive.
